D’un côté, on a ceux qui pensent que c’est une véritable réussite avec une épreuve de masse où des amateurs peuvent (rapidement) côtoyer des pros à l’instar de ce que l’on peut voir en triathlon.
Sur des parcours mélangeant de belles pistes gravel, un peu de route, un peu de technique, de l’urbain,…
Et d’un autre côté, on retrouve ceux qui regrettent une trace « trop simple », réalisable en pneu de 35 mm et sans aucun pierrier à descendre là où la mode est d’avoir un gravel avec deux suspensions et des pneus en 50 mm.
Clairement l’UCI a tranché et place le gravel entre la route et le cyclo-cross au lieu de le placer entre le VTT et le CX.
Il faut respecter cette décision et force est de constater que pour le moment le choix est gagnant avec plus de 2 600 participants sur cette troisième édition.
Le gravel est l’une des seules disciplines où c’est la trace qui segmentarise les pratiquants.